Le Palmarosa est une herbe (poacée) faite de touffes hautes et grandes. Son bassin est celui des lits des grands fleuves du sous-continent indien. Il se trouve également dans les Caraïbes où la population qui en consomme régulièrement sous forme de boissons ne souffre d'aucun acné.

Pour l'aromathérapie, ce sont ses feuilles que l'on distille, tout comme ce sont elles qui sont employées dans les Caraïbes. Elles qui ressemblent à de longues épées effilées et fraîchement affutées pour aller combattre les microbes les plus carapacés.

Et pourtant elle sait toujours montrer de la douceur là où elle se montre la plus aiguisée aux emplois les plus précis. Comme ses feuilles sont poilues sur la tranche qui faisait peur comme d'une épée au paragraphe précédent, son emploi antimicrobien vaut nettement celui des huiles phénolées les plus agressives alors qu'elle est d'une facilité d'utilisation déconcertante. Tout comme ses propriétés si puissamment anti-infectieuses nous feraient craindre un prix élevé (on s'attend tellement trop à un prix élevé pour ce qui est bon, réflexe à mettre de côté en médecine naturelle) alors qu'elle est accessible au porte-monnaie le plus léger.

Mais voilà un dommage emploi qui a été fait d'elle. Saviez-vous qu'elle pouvait être amaigrissante ? Moi non-plus. Amaigrissante du porte-monnaie ou de l'honnêteté puisque nombre de revendeurs d'huiles essentielles falsifient la Rose avec du Palmarosa. Non pas en la remplaçant tout bonnement mais juste en coupant la première avec la deuxième. Quelle différence de prix ! Notons que c'est un avantage : une si jolie odeur à un prix si abordable nous permet d'en diffuser dans la pièce sans scrupules et avec bonheur.

Adoucit le besoin d'être parfait
Rend la personne plus douce
Diminue la culpabilité
Tranquillise lors de tiraillement entre deux buts ou devoirs
Apaise le lien avec sa mère
Calme l'anxiété, diminue le stress
Romantisme et douceur

1^er chakra
4^ème chakra
2^ème chakra

Diminue le Pitta incendiaire
Calme un Vata dispersé
Stimule un Kapha

Terre (et Air)

Alcools monoterpéniques (géraniol majoritaire)
Oxydes (1,8-cinéole)
Esters monoterpéniques (acétate de géranyle)
Cétones : méthylhepténone en traces : aucune toxicité n'en découlant
Furanocoumarines : aucune

Lot, PAL2001/202 (PDF, 223 Ko)
Lot, PAL501J107044 (PDF, 258 Ko)